Le journal est ouvert sur la table
Je me suis endormi sur la une
A la page deux flottent des e-mages
Des ailes me poussent vers l’avant-toi
Ma tête est lourde d’informations
Et de formations non suivies
Il paraît qu’on a arrêté un fou
Un peintre sur perles
Les couleurs deviennent douloureuses
La mort vague à ses préoccupations
Qui lui taraudent dans la tête
Pleine de lames de fond
Le soleil est tout pâle
Il a laissé ses souvenirs sur le sale
Une vague lèche le présent
Pour un futur meilleur.
15 janvier 2014
Tu es prolifique avec 2014
Il y a des vers qui font écho à quelque chose dans ma tête et mes souvenirs psycho-corporels…
Je sais que tu aimes casser les mots et il y a la rime, mais ne voulais-tu pas dire « sable » à la place de « sale » dans le dernier vers ?
« sale » me va très bien dans ce cas, mais merci pour la remarque et ton commentaire.